In Cairo, Egypt the restoration of the Khayrbek Mosque Complex has been a key initiative of the Trust, comprising the Mamluk Palace of Alin Aq, the mausoleum and sabil-kuttab of Khayrbek and two Ottoman houses, covering a total area of approximately 8,000 square metres.

AKDN / Adrien Buchet

Mais comment, à une époque où il est nécessaire de concilier de nombreux besoins, la culture pourrait être considérée comme un élément essentiel du développement ? Comment, lors d’une guerre ou d’une période d’austérité, pourrait-on envisager de restaurer des monuments ? La question s’est ensuite transformée : « comment tirer parti de la culture et en faire le moteur d’un changement économique et social positif ? »

« Le Programme Aga Khan en faveur des villes historiques (AKHCP) a été créé afin de confirmer l’hypothèse selon laquelle la culture était, et est toujours, une composante intégrale du processus de développement et qu’elle peut se révéler un outil puissant pour améliorer la qualité de vie », explique Shiraz Allibhai, directeur adjoint du Trust Aga Khan pour la culture (AKTC). Pour ce faire, l’AKHCP a conçu une approche unique de réhabilitation urbaine qui mêle restauration, conservation, création de parcs et de jardins et mise en place de programmes d’emploi et de formations professionnelles.