En vue d’apporter une réponse à cette situation, des scientifiques de l’Université d’Asie centrale ont effectué des recherches sur plusieurs variétés de haricot commun, une plante dont la culture ne nécessite pas une irrigation excessive. Capables de s’adapter à des conditions climatiques difficiles, les variétés identifiées pourraient se révéler être une source nutritionnelle fiable durant la saison maigre que traversent les communautés de montagne durant l’hiver.

Alors que le changement climatique est dans tous les esprits et que le besoin de renforcer le développement économique dans la région se veut prioritaire, l’École des arts et des sciences de l’Université d’Asie centrale a signé un protocole d’entente plus tôt cette année avec le gouvernement kirghize en vue d’élaborer un plan de développement du tourisme durable pour l’oblast de Naryn.